Médiathèque Magescq : Maryse Lartigau rencontre-dédicace, "Le destin d'Anatole"
De l'autre côté du miroir...
Vendredi soir 9 décembre, la médiathèque de Magescq avait fermé ses volets mais la lumière est restée allumée, un petit comité de lecteurs était venu à la rencontre de Maryse Lartigau, qui a confié avoir écrit son premier livre dans ces murs!
C'était "Des ombres sur la lande" mais "Les chemins de l'espoir" était son titre initial et de cœur.
Ces deux mots définissent bien l'auteur: ces petits chemins de ses Landes natales, qu'elle aime suivre, sans jamais se perdre, et l'espoir qui éclaire ses histoires, malgré la violence du monde et la folie des hommes.
Maryse croit au destin, mais sans fatalisme, elle pense qu'on peut en devenir le maître. Elle ne croit pas au hasard, on croise dans ses livres des ombres noires mais aussi de belles âmes.
Il y est souvent question de rédemption, de renaissance. Elle nous dit qu'elle aime les êtres différents, les rejetés, les fous, les anges-gardiens, les enfants surtout, qui voient la vérité du monde.
Les vieux prénoms, Ancelin, Angèle, Baptiste, Emilien.
Elle raconte comment elle porte les personnages qui naissent dans sa tête, les accompagne, dans leurs douleurs, leurs souffrances, leurs joies aussi, parfois elle a du mal à les quitter...
Maryse croit au destin, mais sans fatalisme, elle pense qu'on peut en devenir le maître. Elle ne croit pas au hasard, on croise dans ses livres des ombres noires mais aussi de belles âmes.
Il y est souvent question de rédemption, de renaissance. Elle nous dit qu'elle aime les êtres différents, les rejetés, les fous, les anges-gardiens, les enfants surtout, qui voient la vérité du monde.
Les vieux prénoms, Ancelin, Angèle, Baptiste, Emilien.
Elle raconte comment elle porte les personnages qui naissent dans sa tête, les accompagne, dans leurs douleurs, leurs souffrances, leurs joies aussi, parfois elle a du mal à les quitter...
Son dernier héros, Anatole, est un survivant, un trompe-la-mort.
Il a une mission à accomplir, on la découvre avec lui, on voit la maison cachée dans la forêt, on sent l'odeur de la lande, on entend la musique des gitans et leurs chants, rien de mauvais ne peut venir d'eux.
Il y a des âmes noires bien sûr mais aussi l'amour, qui a le visage d'un ange.
Dans ce huitième roman, Maryse Lartigau ne dit rien d'autre que les tragédies et les bonheurs de toute vie.
Chacun est à la fois banal et extraordinaire. Il suffit de suivre son chemin...
Après des questions-réponses simples et sincères et les dédicaces, la soirée s'est prolongée par des échanges autour d'un verre...
La Médiathèque
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